Le journal d’une peste, de Virginy L.SAM (Auteur) et Marie-Anne Abesdris (Illustrations)

Avant les vacances de la Toussaint, ma professeure de français nous a demandé, à ma classe et à moi, de lire un livre.

J’ai choisi un livre qui était dans mon armoire depuis un an, c’est un livre que ma mère m’avais offert pour mon anniversaire et que je n’avais jamais lu : Le journal d’une peste. 😊

Voilà de quoi vous faire une idée du contenu :

J’ai aimé ce livre, il est plein d’humour, mais je trouve que ça manque un petit peu d’action. 🙁

— Plume grise

Fables, Jean de La Fontaine

Voici la version numérique du recueil de Fables de la Fontaine qui a été offert, au mois de juin dernier, à tous les élèves de CM2, par le Ministère de l’Éducation Nationale.

Pour le lire et/ou le télécharger, cliquez sur l’image de couverture ou bien sur le lien ci-dessous :

Fables, Jean de La Fontaine – illustrées par Emmanuel Guibert.

Si vous souhaitez écouter ces textes, je vous invite à cliquer sur le lien suivant :

Version audio du recueil.

Mon avis

Je trouve personnellement que cette version des Fables est une réussite, parce que les illustrations mettent en valeur l’humour de la Fontaine qui, comme vous le savez, voulait divertir ses lecteurs tout en les invitant à la réflexion.

Sauveur et Fils – saison 1, Marie-Aude Murail

Sauveur et fils est le récit d’un psychologue qui raconte sa vie professionnelle et privée.

Il se trouve au CDI. Si vous voulez le lire, prenez-le directement dans le rayon romans ou demandez-le à la documentaliste.

Présentation de l’éditeur :

Quand on s’appelle Sauveur, comment ne pas se sentir prédisposé à sauver le monde entier ?
Sauveur Saint-Yves, 1,90 mètre pour 80 kg de muscles, voudrait tirer d’affaire Margaux Carré, 14 ans, qui se taillade les bras, Ella Kuypens, 12 ans, qui s’évanouit de frayeur devant sa prof de latin, Cyrille Courtois, 9 ans, qui fait encore pipi au lit, Gabin Poupard, 16 ans, qui joue toute la nuit à World of Warcraft et ne va plus en cours le matin, les trois soeurs Augagneur, 5, 14 et 16 ans, dont la mère vient de se remettre en ménage avec une jeune femme…
Sauveur Saint-Yves est psychologue clinicien.
Mais à toujours s’occuper des problèmes des autres, Sauveur oublie le sien. Pourquoi ne peut-il pas parler à son fils Lazare, 8 ans, de sa maman morte dans un accident ? Pourquoi ne lui a-t-il jamais montré la photo de son mariage ?

— Éditions EDL, 2018 (quatrième de couverture).

Mon avis :

J’aime les livres qui racontent la vie d’une personne et j’apprécie tout particulièrement celui-ci.

Il y a du suspense avec les patients de Sauveur Saint-Yves : on ne sait pas comment il va les guérir.

Il y a aussi de l’humour, avec Lazare, son fils, qui fait souvent des blagues et les patients sont drôles.

C’est un roman réaliste plein d’humour.

Gwen

A.B.C. contre Poirot, Agatha Christie

Résumé complet de l’intrigue :

L’histoire se déroule en Angleterre, en 1935. Elle est racontée par le Capitaine Hastings.

Hercule Poirot est un détective privé. Il reçoit une lettre anonyme signée A.B.C ; celle-ci dit qu’un évènement aura lieu à Andover le 21 de ce mois. Mais qui est cet A.B.C. ? Et effectivement, un meurtre est commis à Andover : une certaine Ascher est assassinée le 21. La pauvre femme vivait avec son mari sans cesse ivre et sa nièce, Mary Drower. Poirot leur pose quelques questions. Il se rend compte qu’un guide de chemin de fer intitulé A.B.C. est posé sur le comptoir du magasin de Mme Ascher. Mais pourquoi l’assassin signe-t-il A.B.C ?

Puis, une deuxième lettre arrive. Celle-ci dit qu’un autre meurtre va être commis à Bexill-sur-mer, à la date du 25 du mois courant et Betty Barnard en paye le prix. La pauvre fille a été étranglée avec sa propre ceinture. Un guide de chemin de fer est posé sur la victime. Betty avait une sœur, Megan Barnard ; elle disait souvent que Betty était beaucoup plus belle qu’elle. Les deux sœurs ne se voyaient pas souvent. Poirot interroge les parents de Betty, sa sœur et son fiancé. Celui-ci était très jaloux, car Betty sautait souvent sur l’occasion pour embrasser les hommes qui passaient devant elle. Megan dit que parfois ils se disputaient et qu’il avait menacé de la tuer. Pendant un temps, Hastings croit que c’est lui, le meurtrier, mais pourquoi aurait-il tué Mme Ascher ?

Poirot lui fait part de quelque chose : l’assassin choisit ses victimes et ses villes dans l’ordre alphabétique.

Poirot reçoit une troisième lettre et elle dit qu’un crime va être commis à Cheurstonne, le 30 courant. Sir Carmichael Clark est tué et un A.B.C. a été déposé sur la victime. Le pauvre homme avait un frère, une femme souffrant du cancer et une secrétaire, Miss Grey, avec qui il s’entendait fort bien. Poirot les interroge ; Miss Grey prétend n’avoir vu personne qu’elle ne connaissait pas. Puis Poirot interroge Lady Clark. Elle dit qu’elle a vu Miss Grey parler à quelqu’un, ce qui sème le doute chez Poirot. La vieille femme perd peut-être la mémoire… mais si Miss Grey mentait ? Peut-être… Donc il décide de réinterroger Miss Grey. Elle se souvient qu’effectivement elle a parlé à un vendeur de bas et Poirot dit qu’il se rappelle avoir vu des bas sur la chaise de Mme Ascher. De plus, Megan Barnard a vu sa mère pleurer, car elle avait acheté pour rien des bas à Betty, auprès d’un vendeur ambulant. Miss Grey qui parle à un vendeur de bas !!! Mais tout s’explique : c’est comme ça que l’assassin sait qui et quand il faut assassiner. Poirot demande à Miss Grey comment il était. Elle dit qu’elle ne sait pas vraiment, il avait des lunettes, un vieux manteau et il était assez voûté.

Poirot reçoit une quatrième lettre : elle dit qu’un autre meurtre va être commis à Doncaster, le 11 septembre. Cette fois, l’assassin se trompe de victime, car son nom ne commence pas par un D, mais par un E et le pauvre homme poignardé s’appelait Earlsfield.

Un certain monsieur Cust était présent sur les lieux des quatre crimes… Là où M. Cust est logé, la femme qui apportait les cuves d’eau chaude dans les chambres, remarque que M. Cust avait du sang dans sa cuve d’eau froide, parce que soi-disant, il s’était coupé la main. Elle le signale à Poirot qui va voir M. Cust. Ils trouvent l’eau rougie et un couteau plein de sang au-dessous de son lit. M. Cust est déclaré coupable. Poirot va interroger M. Cust en prison et Poirot comprend qu’il est innocent.

Puis il fait une réunion avec tous les proches des victimes et il leur dit que ce n’est pas M. Cust l’assassin, mais M. Clark ! Comme M. Cust était facilement influençable et qu’il perdait la mémoire, c’était l’alibi parfait et en lui offrant un emploi et lui donnant une liste de clients chez qui se rendre, il serait le coupable désigné, en allant chez les gens le jour du meurtre. En fait, M. Clark voulait tuer son frère pour hériter de sa fortune. Mais cela aurait été trop suspect si M. Clark avait tué seulement son frère pour son héritage. M. Clark a donc dissimulé le meurtre de son frère avec trois autres.

Ma critique :

Ce livre est bien, mais le vocabulaire est un peu difficile à comprendre (« contrefaite », « trivial », « profane », « infatué »…). Cependant, cette écriture n’empêche pas les lecteurs (de 6ème) de comprendre l’intrigue.

À la fin, le lecteur est impatient de connaître le coupable. Comme il est mis sur une fausse piste, il ne se doute pas de l’identité du coupable jusqu’au dernier moment où la vérité est dévoilée : on découvre seulement à la toute fin qui est le vrai coupable, alors que l’auteur suggère au lecteur que le coupable est monsieur Cust. En effet, ce personnage a tous les éléments pour en être un, il vend des bas et se trouve sur les scènes de crimes le jour-même de chaque meurtre, le lecteur croit donc que c’est lui le coupable.

L’auteur nous induit en erreur, et Poirot a l’air très intelligent !!! Hercule Poirot est un homme gentil, mais il est très suffisant, toujours sûr de lui.

L’histoire peut être sanglante par moment, mais ça dépend comment les lecteurs la voient : on n’assiste pas aux crimes, mais à la description des scènes de crime.

J’aime bien ce livre, il y a de l’action (beaucoup de crimes à imaginer). Quand on le lit, on ne s’ennuie pas et on a envie de savoir qui est le coupable.

On a l’impression d’être à la place du Capitaine Hastings, car c’est lui qui raconte l’histoire. Si c’était Poirot qui racontait, on comprendrait moins bien, car il garde tout pour lui avant de tout révéler d’un coup. C’est pour cela qu’on parle d’ histoire à énigme.

Marie L.

Le Fantôme d’à côté, de R.L. Stine

Chair de poule n° 16

L’intrigue :

C’est l’histoire d’Anna. Elle vit avec ses deux frères et ses parents. Elle rencontre un garçon qui se prénomme Dany. Elle ne le connaît pas, alors qu’ils sont voisins depuis un an…

Un jour, Dany s’assoit par terre et Anna essaye de l’aider à se relever, mais la main de Dany transperce le corps d’Anna. A ce moment, Dany se redresse tout seul et met sa main dans la poitrine d’Anna. S’enfuyant en courant, il a très peur. Plus tard, Dany, Alain et Fred décident de retourner chez un voisin qui les a menacés, Monsieur Chesnay, afin de se venger. Ils allument alors une allumette, mais la font tomber. Alain et Fred ont le temps de s’échapper, tandis que Dany est pris au piège dans une maison en train de brûler. Heureusement, Anna se porte à son secours et le sauve. Puis elle lui demande de ne pas l’oublier et disparaît.

Ma critique :

J’ai bien aimé ce livre, car l’histoire est intéressante.

La vérité n’est dévoilée qu’à la fin, il y a du suspense.

L’intrigue nous amène à penser que Dany est le fantôme, alors que dans le dénouement… Quel quiproquo !

J’ai apprécié cette histoire. En effet, il y a un mystère qui entoure Dany et un retournement de situation. Le registre n’est pas vraiment fantastique, mis à part le fait qu’Anna est un personnage étonnant.

J’ai bien aimé les personnages, surtout Anna, car c’est un personnage plutôt gentil avec beaucoup de courage. Elle pense aux autres avant de penser à elle. Je me suis senti proche d’elle, car c’est la narratrice de l’histoire et elle a mon âge.

J’ai déjà lu des Chair de poule, celui-ci a été à la hauteur de mes attentes. Je ne suis pas un fan de lecture de romans, mais ce récit m’a donné envie de le terminer. Je pense qu’il est adapté aux collégiens qui sont attirés par les histoires fantastiques (fantômes, zombies…).

Amaury L.