Divers
Remerciements
Le propriétaire de jangles.fr souhaite remercier :
- sa famille : ses parents pour l’avoir éduqué avec patience, affection et avoir supporté son trouble bipolaire, Dominique « Launey » Audoire, son oncle, pour avoir initié son éducation musicale et lui avoir fait découvrir de nombreux artistes, John H. Bro, son oncle pour sa gentillesse, le supporter et avoir passé de nombreuses heures avec lui à installer et configurer nos distros Debian GNU/Linux dans une ambiance chaleureuse ;
- son entourage : ses rares amis (Cédric « Max » Lecouvey, Jean-Philippe « Janfi » Rideau, Jean-Pierre « Jipé/Djeepy » Leprévost (†), pour supporter son trouble bipolaire et pour leurs marques de bienveillance et d’amitié, les frères Pierre-Yves et Vincent Buard, pour les mêmes raisons et lui avoir fait découvrir GNU/Linux en à la fin des années 1990. Je me souviens de l’enthousiasme partagé lors d’installations plus ou moins couronnées de succès de diverses distributions GNU/Linux (« Slackware », « Red Hat » — aujourd’hui « Fedora » —, « Mandrake » et bien sûr « Debian »), ainsi que des nos échanges de trucs et astuces.
Hommages
Je tiens également à rendre hommage à la mémoire de :
- Mon père, André, né le 18 janvier 1941 et décédé le matin du 10 avril 2024, dans sa 84ᵉ année, d’une hémorragie provoquée par les séquelles d’une septisémie dont il se remettait pourtant. Je lui dois de m’avoir aimé, éduqué, instruit, montré l’exemple de ce qu’était une vie « d’honnête homme » et transmis, parmis d’autres, la valeur d’intégrité. Tu me manques beaucoup, Papa ;
- Danièle, ma tante, née le 11 septembre 1940 et décédée le 26 janvier 2005, dans sa 65ᵉ année, d’un cancer du poumon métastasé. Ma tante était une femme réservée mais très douce, souvent pensive, libre penseuse et un peu hippie, qui chérissait la littérature, ainsi que les arts en général ;
- Michel, mon oncle, aîné de mon père, né le 19 mai 1938 et décédé le 18 novembre 1983 dans sa 46ᵉ année, bien trop jeune, d’une tétralogie de Fallot, grave malformation cardiaque congénitale, à l’époque inopérable. Je me souviens de son affection à mon égard, de sa gentillesse et de sa joie de vivre. Malgré la grave maladie qui le faisait souffrir, je n’ai pas le souvenir de l’avoir entendu se plaindre une seule fois. Pourtant — c’est évident — quand vous avez une telle épée de Damoclès au-dessus de la tête, n’espérez pas trouver l’amour. Il n’a jamais eu de copine et ne s’est jamais marié. Toutefois, il a trouvé le moyen de culbuter la femme du voisin, qui a élevé un enfant qui n’était pas le sien. Je ne sais pas vraiment pourquoi, mais que mon oncle ait eu une décendance malgré la courte vie à laquelle le condamnait sa maladie… me réconforte. Contre toute attente, il a réussi à remplir la seule mission biologique que nous autres hommes ayons : passer la moitié de son matériel génétique à un représentant de la génération suivante, que cette femme adultère — on devrait la béatifier rien que pour ça — lui ait donné de la tendresse… et du plaisir sexuel ;
- Marguerite, ma grand-mère paternelle, née le 3 novembre 1899 et décédée le 3 janvier 1982, dans sa 83ᵉ année, par suicide. Je n’avais que huit ans quand elle s’est donné la mort, mais sa disparition a bouleversé l’enfant que j’étais. Je ne lui en veux pas d’avoir choisi de quitter ce monde ; je garde d’elle le souvenir de son sourire, malgré la tristesse et la dépression qui l’affligeait, surtout dans ses dernières années.
Vous me manquez tous et je pense à vous. Souvent.
Copyright © 2024 jangles.fr.