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Présentation de l’éditeur

Qui provoque ces bruits mystérieux dans le grenier du château familial des Dastray ? Pour avoir cherché à le savoir, Lucie manque de perdre la vie ! Elle aura bien du mal à reconstituer le passé et à découvrir le terrible secret qui relie sa mère à Léonard de Vinci.

Ma critique

Ce livre ne fait pas partie de la collection Chair de poule, mais l’ancienne couverture y faisait penser :

Dans ma lecture Du feu pour la salamandre, de Michel Amelin, j’ai apprécié l’histoire de Lucie, le personnage principal qui se fascine pour l’œuvre de Léonard de Vinci. L’aventure se passe dans un château où il aurait vécu.

Lucie est curieuse et veut découvrir le mystère qui tourne autour d’un manuscrit sacré d’une grande valeur. Elle va devoir risquer sa vie pour retrouver sa mère, qui a été kidnappée par le duo Desforges qui essaye de récupérer le manuscrit pour devenir riche.

Le suspense est au rendez-vous.

Rafael PB

L’intrigue

C’est l’histoire de quatre sœurs : Lou, l’aînée de 17 ans qui se prend pour la mère bis avec ses sœurs. Laure, 13 ans, qui adore les dessins. Lisa, 9 ans, qui plus tard veut devenir la femme qui change de métier chaque mois ! Et enfin, Luna, la petite dernière de 6 ans, qui adore Noël et Ses cadeaux.

Elles sont assez heureuses, car Noël arrive, jusqu’à ce que leurs parents leur apprennent qu’ils vont fêter Noël à la ferme, chez des anciens amis à eux. Elles s’arrêtent toutes de sourire.

Arrivées à la ferme, les deux petites sœurs sont ravies de faire la rencontre d’une fille de leur âge et de son chien, au contraire des deux grandes sœurs qui voulaient fêter Noël à Paris.

Petit à petit, toutes les sœurs vont apprendre et découvrir la vie à la ferme et sur les marchés.

Le réveillon devient encore plus spécial, lorsqu’elles se retrouvent à devoir le partager avec les habitants d’une maison de retraite où elles apportent beaucoup de bonheur !

Finalement, ce Noël sera inoubliable pour les quatre sœurs !!

Ma critique

J’ai beaucoup aimé ce livre, car il est plein d’humour, avec la plus petite qui utilise un vocabulaire assez drôle et qui va toujours embêter ses sœurs !

Je ne me suis pas ennuyée à lire ce roman : il m’a surprise par moments, parce que les filles parviennent toujours à trouver des solutions pour résoudre leurs problèmes !

La couverture fait enfantine, mais l’histoire de ce livre est vraiment passionnante et elle est adaptée à la fois aux enfants et aux jeunes ados.

Je le recommande plus aux filles, car je pense qu’il ne conviendrait pas aux garçons. En effet, c’est une histoire dans laquelle les quatre filles sont les personnages principaux et il n’y a presque aucun garçon. Mais après peut-être que ça plairait aussi à certains garçons !

Je me suis sentie plus proche de Laure : c’est elle qui raconte l’histoire, c’est la narratrice.

Juliette D.

L’intrigue

On peut avoir un chat doué de capacités hors du commun et tout ignorer de l’existence des magiciers (non, il n’y a pas d’erreur). C’est le cas de Charly Vernier, jusqu’à ce qu’il découvre que sa grand-mère pourrait être un membre éminent de cette société. Et elle court un grave danger. S’il veut la sauver — et se sauver lui-même — Charly n’a pas le choix, il lui faut devenir apprenti magicier. [Texte rédigé à partir de la note de l’éditeur]

Ce livre raconte donc l’histoire d’un jeune français qui s’appelle Charly Vernier, sa mère est la directrice de son école : l’ancienne fabrique des allumettes de la chevaleresse Hurluberlu. Il passe ses journées avec son amie June, une fille qui se moque souvent du règlement. Un jour, il apprend que sa grand-mère viendra vivre chez lui.

Dés son arrivée, Charly remarque que sa grand-mère n’est pas dans son assiette, comparée aux seuls souvenirs qu’il en a. En fouillant dans ses affaires, il apprend qu’elle est victime d’une malédiction entraînant la perte de sa mémoire et qu’il va devoir plonger dans le monde magique des magiciers pour y remédier.

Ma critique

J’ai eu un peu de mal à apprécier les premiers chapitres, mais dès le début de l’intrigue, tout s’enchaîne d’une manière très harmonieuse à la lecture et surtout très simple à comprendre.

Les jeunes lecteurs peuvent très facilement s’identifier aux héros.

Ce qui m’a le plus charmée, c’est l’atmosphère magique du livre, tout est extrêmement bien décrit pour que l’on puisse se projeter dans les lieux décrits.

L’histoire est tellement captivante que personnellement, au bout de plusieurs heures de lecture, je voulais continuer l’aventure, malgré les quatre-cent pages qui auraient pu faire peur à plus d’un.

Les personnages restent attachants ou, pour les plus méchants d’entre eux, détestables.

Hâte de voir paraître le prochain volume !

Léziska T.

Présentation de l’éditeur

« Si jamais on me donne un cheval de bois pour mes étrennes, je saute dessus et je file. »

Poil de Carotte est un petit garçon mal-aimé. Souffre-douleur de sa mère, il est aussi raillé par son frère et sa sœur, parfois délaissé par son père…

Face à l’injustice, l’enfant ne possède que la ruse, le mensonge et l’humour. Des armes qu’il manie à merveille !

Dans ces saynètes drôles, touchantes et parfois terribles, inspirées de sa propre histoire, Jules Renard dépeint l’univers émouvant de l’enfance en le teintant d’une amère ironie.

Ma critique

Je n’ai pas aimé ce livre, parce que, pendant la lecture, je perdais un peu le fil de l’histoire.
J’ai trouvé qu’il y avait trop de chapitres différents : ils parlent de moments différents qui ne sont pas liés les uns aux autres.

Je préfère les romans qui racontent une seule histoire, une seule aventure.

Je ne conseille pas ce livre aux personnes qui n’aiment pas les histoires tristes et je le déconseille à ceux qui n’aiment pas lire des récits sur le thème de la maltraitance des enfants.

Par contre, on s’attache au personnage de Poil de Carotte, car ce garçon a une enfance malheureuse, à cause de sa mère.

Romain L.

L’intrigue

Ce livre de Pam Muñoz Ryan contient 218 pages.

C’est un roman pour adolescents qui raconte l’histoire de Maya ; elle a douze ans. Seule à la mort de sa grand-mère, elle part vivre chez son grand-père maternel qu’elle ne connaît pas et elle découvre alors sa tante, son cousin et son oncle.

Elle découvre la vie à la campagne et les chevaux sauvages…

Ma critique

J’ai beaucoup aimé Peindre le vent, c’est un roman intéressant pour les personnes pratiquant l’équitation et aimant les chevaux, car il emploie beaucoup de vocabulaire équestre.

Il est captivant, car dès le premier chapitre, j’ai accroché à l’histoire.

Je trouve ce livre assez long, mais pas du tout ennuyeux, il y a beaucoup d’action et il n’y a jamais un chapitre sans un moment fort ou exceptionnel.

L’héroïne ayant mon âge et la même passion que moi, je me suis identifiée à elle.

Éliette L.